Slimani va rester en Irlande

Selon les informations de Midi
Olympique, le pilier international français Rabah Slimani (35 ans)
va prolonger d’une saison son contrat au Leinster.
L’été dernier, Rabah Slimani était devenu le premier joueur
français à signer pour la franchise du Leinster, quadruple
championne d’Europe, Clermont, où il évoluait depuis sept ans,
ayant décidé de lui proposer une reconversion en tant qu’entraîneur
plutôt qu’un nouveau contrat de joueur. Et l’expérience irlandaise
se passe très bien pour le pilier droit de 35 ans, installé Ã
Dublin avec sa future femme et sa fille, à tel point qu’il va y
rester un an de plus.
L’édition de ce lundi de Midi Olympique nous apprend en
effet que la prolongation de contrat de l’international français
(57 sélections, 4 essais) sera annoncée très prochainement. Cette
saison, Rabah Slimani a disputé 14 matchs (10 en United Rugby
Championship, 4 en Champions Cup), dont 10 comme titulaire, et a
inscrit un essai pour cette équipe du Leinster actuellement leader
invaincu de son championnat et qualifiée pour les huitièmes de
finale de la Champions Cup (contre les Harlequins début avril).
Slimani avait retrouvé les
Bleus
L’ancien joueur du Stade Français, dont l’arrivée avait surpris
beaucoup de monde, a convaincu sur et en dehors du terrain, comme
l’a fait savoir son entraîneur Leo Cullen : « Rabah a été
fantastique avec nous. Il répond totalement à nos attentes tant sur
le terrain qu’à l’entraînement où il est précieux pour aider nos
jeunes joueurs à progresser. »
Ses bonnes performances cette saison avaient permis au natif de
Sarcelles de retrouver le XV de France au sein du groupe des 42
lors des trois premiers matchs du Tournoi des 6 Nations, alors que
Fabien Galthié ne l’avait jamais appelé depuis son arrivée 2020.
Rabah Slimani n’a toutefois pas passé le cut pour être sur une
feuille de match, et sa dernière sélection remonte donc toujours Ã
la Coupe du Monde 2019. Le pilier droit n’a ensuite pas été appelé
pour préparer les matchs contre l’Irlande ni contre l’Ecosse.
Reverra-t-il Marcoussis un jour ?
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